Preuve de jouissance

Preuve de jouissance
Je savais qu'il allait m'appeler. Il me regardait avec ces yeux il y avait plus de dix minutes, ces yeux qui ont les hommes lorsqu'ils savent qu'ils ne peuvent pas attendre beaucoup plus pour nous enculer. L'appel est venu à travers mon patron. Il m'a dit « Amandine, tu viens d'être prise pour le reste de la soirée. Va vite à la table douze ». J'y suis allée vite, mais je l'ai senti comme s'il avait duré longtemps car il m'a regardé pendant tout le trajet. Il a regardé mes seins, mon visage, mes jambes et je pense qu'il a spécialement regardé l'ourlet de mon jupon que je portais au-dessous de ma robe de soubrette sexy. La robe était tellement courte et le jupon si épais que quand je marchais on pouvait regarder parfaitement la partie basse de ma petite culotte si on avait les yeux à cette hauteur; juste où il les avait.
Quand j'y suis arrivée je me suis présentée et il m'a dit « tu es belle, je veux te regarder tourner avec ces jolies chaussures à talons hauts, s'il te plaît ». J'ai dit « oui Monsieur » et j'ai commencé à tourner, évidemment que mon jupon s'est mis parallèle au sol et qu'il a permis une vue parfaite de ma petite culotte et de mes cuisses. Puis il m'a dit de m'arrêter et de m'asseoir à son côté. Après il a commencé à jouer avec mes seins et à me donner des baisers sur mon cou et mon visage. Ça a été à ce moment là où j'ai commencé à gémir mais je ne pouvais rien lui demander. C'était à lui de décider s'il allait me baiser ou s'il continuerait à m'embrasser toute la soirée. Ultérieurement il s'est mis debout et m'a commandé de baisser son pantalon et son slip et de lui sucer la bite.
C'était une grosse bite, elle avait une saveur délicieuse mais je la voulais dans un autre trou. Après un bon temps il m'a fait arrêter de sucer et il m'a mise debout. Ensuite il m'a dit « je sais que tu attendes ce moment depuis que tu t'es assise à mon côté, mets-toi contre le miroir et courbe bien ton dos ». Je l'ai fait immédiatement. Avec mon dos courbé, j'ai vu dans le miroir, mon jupon poussait la robe haut et loin de mes fesses. Maintenant il ne devait que baisser ma petite culotte pour me baiser. Mais il a pris son temps.
Il a ébauché par caresser mes fesses sur ma culotte, puis il a baissé celle-ci très lentement jusqu'à la moitié de mes cuisses et il a admiré mon joli cul, mes petites couilles et mon petit pénis flasque (il est toujours comme ça). Avec une main il a caressé mes génitales et avec l'autre il a caressé mes seins, je me suis remise à gémir, j'étais tellement excitée que je ne pouvais plus attendre qu'il m'encule. Finalement il m'a pris par mes hanches et il a commencé à me pénétrer. Au début c'était simplement incroyable. Je ne pouvais pas contrôler mes gémissements et je sentais sa bite en massant ma prostate. Dans quelques minutes l'excitation des deux était géante. On a éjaculé presque en même temps. Il l'a fait en premier sur ma prostate et cela est venu dans le moment exact pour me donner le meilleur orgasme que j'avais eu depuis longtemps. Mon sperme s'est rependu dès mon pénis jusqu'à ma petite culotte qui était au-dessous et le sien était au fond de mon trou.
Il m'a tourné vers lui et m'a embrassé de nouveau. Il voulait garder la culotte donc il m'a aidé à me l'enlever. Lorsqu'il l'a eu dans ses mains il m'a fait sentir le sperme avec mon nez. Puis il a plié la culotte comme s'il voulait faire une grande tache de sperme dedans et il l'a mis dans une poche de son manteau. Ensuite il m'a embrassé par dernière fois tandis qu'il a joué avec mes fesses et il est parti.
C'était presque 6h30, il n'y aurait plus de clients jusqu'au soir, alors je suis allée à mon casier et je me suis enlevée la robe, les chaussures à talons hauts, les bas et mon maquillage. J'ai mis une jolie robe courte et légère, puis, lorsque j'allais mettre une petite culotte, j'ai décidé de ne rien mettre au-dessous de ma robe. Je voulais que le sperme que j'avais dedans coule lentement hors mon anus et par mes jambes. Donc j'ai mis une paire de sandales et je suis sortie à la rue. Tandis que j'allais chez moi en marchant ce matin, toute la ville a regardé sur mes jambes, en coulant calmement, la preuve de ma jouissance.