Chienne un jour, chienne toujours

Chienne un jour, chienne toujours
J'étais en couple mais ca ne marchait pas fort. cela faisait 3 semaines qu'on avait pas eu de relations, je ne m'étais pas branlé non plus : c'était vous dire mon niveau excitation.

Ce samedi, j'étais seul à l'appart. J'en profite pour me brancher sur des sites de cul. Au départ, j'avais pas l'intention de passer à l'acte ; une bonne petite branlette pour faire redescendre la pression. J'arrive même à me sucer, c'est cool. Sucer est un grand mot, en penchant la tête je peut téter mon gland et le caresser avec ma langue. Çà suffit pour récupérer mes grandes giclées de sperme. J'aime ça et pourtant je n'ai jamais eu d'aventures homo.
Bref, de sites de q en sites de q, je me fis interpeller en message instantanée par 2 nanas : elles étaient entrain de se rouler des pelles en visio, et chercher un homme pour assouvir leurs fantasmes : 2 belles brunes, des seins comme des obus, peaux mattes...2 vrais canons. C'est un site sérieux, je n'avais pas de raison de douter, elles m'invitaient chez elles - 35 km nous séparait d'après le site. J'avais 3 heures devant moi...j'avoue j'ai hésité...mais bon...l'occasion se faisant rare je leur écrit : ok j'arrive.
Je passe sous la douche - je bandais à l'idée de ma queue glissant d'un trou à l'autre, ou mieux me faire sucer par ses 2 bombes. J'enfila un jockstrap - mon sous-vêtement favori - un jean, un pull, des baskets et c'est parti pour l'aventure...
Arrivé je sonne à la porte : les 2 bombes ouvrent, sont devant moi grand sourire. Jamais je m'étais senti autant un objet sexuel. Je sentis une main me prendre par la ceinture et m'attira vers l'intérieur de la maison, l'autre me sauta au cou et me roula une pelle à faire triquer un homo. J'étais traité en prince : mojito, petits fours sucrés...une vingtaine de minutes s'écoula où on échangeâmes sur des sujets banals : marié ? couple ? job ? puis...
Angelina se plaça derrière moi et commença à me dégrafer le jean. Je laissa sa main s'enfonçait dans mon slip et me massait la queue qui commençait à prendre une forme plus que généreuse. Devant moi, Monica défaisait les boutons de sa veste laissant deviner sa poitrine : pas de soutien-gorge, laissant pensé qu'elle avait du passer sur la table d'opération pour avoir de si beaux nibards.
Monica s'avança, se mit à genou et saisit ma bite qu'elle avala goulûment. La fête était partie.
Angélina me susurra à l'oreille : "tu sais, nous on est pas conventionnelles, on aime les trucs qui sortent de l'ordinaire". devais-je m'inquiéter. Angélina se mit également à genoux, derrière moi, me pencha légèrement vers l'avant. Sa langue commença à me lécher mes couilles, puis remonta vers mon anus. je commençais à gémir de plaisir. Pendant de longues minutes, Angélina me fouilla mon trou (bien serré je dois préciser) avec sa langue pendant que Monica me pompait le dard. Puis, elles me guidèrent dans une autre pièce. Toujours hypnotisé par leur charme, je fus installé sur une espèce de table de médecin, de la longueur d'un lit mais étroite. Monica me grimpa dessus - je croyais qu'elle aller s'empaler sur ma queue - mais s'assit sur mon visage : sa chatte écrasa à proximité de ma bouche : Je ne voyais plus Angelina, trop occupé à laper la chatte de Monica. Celle-ci écartait ses lèvres avec ses doigts ce qui me permettait de goûter au plus profond de son intimité. Tellement excité, ma queue me faisait mal tellement elle était tendue.

Monica me tourna la tête vers Angélina et là, je la vis équipé d'un strapon. Le god faisait bien 21 cm. Je n'ai pas pensé à ce moment là que j'en serai l'heureux bénéficiaire. la seule idée que j'ai eu est que mes chères hôtes avait un goût prononcé pour les doubles pénétrations. Elle avança vers nous, le god en avant. Angélina d'un ton autoritaire me lança : "suce". Surpris mais obéissant, je quitta la chatte de Monica pour donner un coup de langue sur le god d'angelina, puis je pris le gland en bouche ...puis doucement j'enfonça le god dans la gorge. je m'en étouffais, de larmes coulaient sur mes joues. "Très encourageant" me dit-elle. Elle se retira et m'embrassa à pleine bouche.
Angelina commença à me masser le trou, le lubrifia... me pénétra avec 1 doigt ... puis deux. Je me faisais dépuceler avec tellement de talent que je ne ressentais que plaisir. Mais d'un coup, Monica me bâillonna avec sa chatte - je ne pouvais à peine respirer- et Angelina m'enfonça le god dans le cul. J'aurais hurlé. Consciente de ce qu'elle m'avait infligé, elle ne bougeait plus le temps que la douleur se dissipe et que mon cul s'habitue. Elle me caressa le ventre, la bite avec ses mains pleine de lubrifiant. Monica se souleva un peu : de vengeance, j'aspira ses lèvres, les mordilla même. Je pense qu'elle était aux anges.
Angelina, continua sa pénétration : une artiste : elle maîtrisait son god comme sa propre bite, qu'elle n'avait pas d'ailleurs. Je soulevais les reins, écartais les jambes pour favoriser la pénétration. Quand enfin l'objet de plaisir fut entièrement en moi : elle commença à osciller lentement au départ, puis plus vite. Je commençais à prendre du plaisir à être pris comme une chienne. Monica, elle, au bord de la jouissance s'empala sur ma bite pendant que je me faisais limer par sa copine. limer est un mot tendre : je me faisais littéralement défoncer. Il ne fallut que quelques minutes pour lâcher la purée : 3 semaines sans me branler. Monica eu droit a une véritable inondation de sperme. Elle se souleva, ma bite était encore dure. Mon sperme dégoulinait de sa chatte sur ma queue. Monica descendit de la table : les 2 copines se roulèrent une pelle. Quelle belle image gravée dans la tête. ce n'était pas complètement fini : avec leur langue, elles avalèrent le sperme étalé sur mon ventre et ma bite pour me le recracher dans ma bouche. L'après midi se finit par une belle pelle à trois, une pelle bien baveuse.